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22 octobre 2009 4 22 /10 /octobre /2009 14:07
Le Père Janvier, entré au service du Collège Sainte-Croix au Mans (Sarthe) en 1901 s'occupait de la basse-cour et de l'étable.
Ce serviteur du Collège (aujourd'hui Lycée Notre Dame de Sainte Croix) était en poste alors qu'Antoine de Saint-Exupéry était scolarisé dans cet établissement.

Information et photographie tirées de l'ouvrage «Pique la lune» Sur les pas de Saint-Exypéry en Sarthe (1909-1919) Par Thierry Dehaye - Editions de la Reinette - ISBN 2-913566-08-1
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6 juillet 2009 1 06 /07 /juillet /2009 11:23

Émilie Adèle Monden-Gennevraye est née à Baugé, département du Maine-et-Loire, le 19 ventôse an XI, c’est-à-dire le 10 mars 1803, fille de Charles Monden-Gennevraye, propriétaire, et d’Émilie Luciot. Elle épouse en premières noces, le 15 juillet 1822, à Angers, Eugène Janvier de la Motte, né à Laval le 14 avril 1800-Paris, 22 mars 1852), fils d’Élie Jacques Pierre Vincent Janvier, conseiller à la Cour Royale d’Angers, chevalier de la Légion d’honneur, et de Louise Jacquet.

Auteur de Le Départ et de Poésies d’une femme, Adèle Janvier serait venue s’établir à Paris en 1835, selon la Correspondance Franz Liszt-Marie d’Agoult.
Après la mort d’Eugène Janvier de la Motte, le 22 mars 1852, Adèle épouse en secondes noces, un voisin Louis Théodore Perrot (Meaux, 17 novembre 1807-Vanves, 26 mars 1866), fils de Henry Rémy Perrot et de Charlotte Eulalie Lenoir, qui a été chef du 3e bureau (Théâtres) de la Division des Beaux-Arts (1840-1848), secrétaire rapporteur de la Commission des théâtres (1850) et sera sous le Second Empire, inspecteur des prisons et chef de la Direction des prisons et établissements pénitentiaires du ministère de l’Intérieur (1852-1863).

Son fils, Eugène Janvier de La Motte (Angers, 27 mars 1823-Paris, 27 février 1884), sous-préfet de Dinan (1847), Dieppe, Verdun, Saint-Etienne (1850), préfet de la Lozère (1853-1855), sera, pendant dix ans le préfet à poigne de l’Eure (1856-1866), marquant son passage par une phrase immortelle : « L’Empereur est le père des pompiers, de tous les pompiers ! » Il fut ensuite préfet du Gard, du Morbihan (1868-1870) ; un procès lui sera intenté en 1871 pour détournement de fonds public, mais il sera acquitté attendu que les sommes en cause avaient été utilisés non pas à des fins d’enrichissement personnel, mais mises au service de diverses collectivités. Il se lancera ensuite dans la carrière politique : député bonapartiste de l’arrondissement de Bernay (élu le 20 février 1876, réélu le 14 octobre 1877 et en 1881), conseiller général de Brionne (11 novembre 1877, battu le 19 août 1883). De ses premières noces avec Marie Louise Gabrielle Loré, il aura deux fils et une fille, qui deviendra Mme Guéau de Riverseaux.
Voir : http://janvier.over-blog.com/article-33065789.html

Sa fille, Louise Claire (Angers, 29 mai 1827-Paris, 10 novembre 1894), épousera Jacques Félix Auguste, vicomte Lepic (Andrésy, 26 septembre 1812-Paris, 5 novembre 1868) le 7 février 1850 ; celui-ci, colonel des Cent-Gardes (1854-1856), sera nommé général le 13 août 1865. Le frère de Jacques Philippe Auguste, Louis Joseph Napoléon, comte Lepic (Maurécourt, 5 août 1810-Paris, 7 avril 1875), général de brigade (11 août 1864), sera aide de camp de Napoléon III, maréchal des logis du Palais. Tous deux étaient fils de Joseph Lepic, baron de l'Empire (lettres patentes du 3 mai 1809), puis comte héréditaire (ordonnance royale du 20 décembre 1817). Comme sa mère, Louise Janvier laissera une oeuvre littéraire.

Mme Adèle Perrot – qui semble parmi tant d’autres avoir été recrutée par l’écrivain comme documentaliste pour Bouvard et Pécuchet – meurt, huit ans après Flaubert, au château d’Aiguebelles, sis sur la commune de Coulangé (Sarthe), le 2 septembre 1888

Recenser l’oeuvre littéraire d’Adèle Janvier-Perrot pose de redoutables difficultés, pour la raison que mère et fille ont adopté le même pseudonyme, A. Gennevraye ou Gennevray, nom de jeune fille de la mère, précédé de l’initiale de son prénom.
     Or, la vicomtesse Lepic fut un des auteurs importants d’Hetzel, dont les romans et nouvelles furent imprimés dans le Magasin illustré d’éducation et de récréation et semaine des enfants réunis, publié par J. Macé, P. J. Stahl, J. Verne, avant d’être traduits en italien, en espagnol, en anglais ; ainsi, en 1882, paraissent successivement : Une faute :(n° 411, 1er février) ;
     Les Vendanges, n° 412, 15 février ; La Vanité (n° 413, 1er mars) ; Une conspiration (n° 419, 1er juin) ; Le Premier bal (n° 421, 1er juillet) ; La Dînette (n° 422, 15 juillet) ; La Mendiante (n° 423, 1er août) ; Maman ne m’aime plus (n° 424, 15 août) ; Une fière panique (n° 426, 15 septembre) ; La croix d'or (n° 427, 1er octobre) et à partir du 1er janvier 1884
La Petite Louisette.
     On doit sans doute aussi lui attribuer les textes postérieurs à 1888, date de la mort de sa mère (
Les Embarras d’un capitaine de dragons, 1888 ; Andrée de Lozé, 1889 ; Marchand d’allumettes, [1889 et 1900], Une sous-préfète, 1890, Histoire invraisemblable. L’Isolée, 1891, Pour l’honneur ! 1892, Le Roman d’un sous-lieutenant, 1892, Tintin, 1893, Un château où l’on s’amuse, 1893 et 1895, Les Petits Robinsons du Roc-Fermé, 1895.
     En revanche, appartiennent sûrement ou vraisemblablement à la mère :
     1° L’Ombra. Louise. Le Capitaine Mercier, 1882 : Louise lui étant attribuée par Mlle Leroyer de Chantepie et les trois nouvelles par Alexandre Dumas fils. 
     
Rimes et raison. Avec une lettre de Émile Augier (1886), l’un des poèmes étant dédié « à Louise, ma fille ».
     3°
Le Théâtre du salon [Les Malentendus. Plus de peur que de mal. Un prêté pour un rendu. La Cinquantaine. L’Habit ne fait pas le moine. Qui ne dit mot consent. Une nuit blanche. Il vaut mieux tard que jamais. Le Mieux est l’ennemi du bien. En route. Quelle émotion], avec une préface par Alexandre Dumas fils, 1882.
     4° Quelle émotion ! comédie proverbe en un acte (Paris, 4 mars 1882) et peut-être Petit théâtre de famille, 1883, et Théâtre de famille, s.d. [1883 et 1884], dans la mesure où l’écriture dramatique semble être une spécialité de la mère.
     5° Sans doute encore : Une cause secrète, suivie de Le Comte Willy et Marguerite, en raison de sa date (1863).
     Restent deux livres dont la maternité ne peut sûrement être attribuée (
Le Roman d’un méconnu. M. de Fayen. Madame de Faverlay, 1883 ; Trop riche, 1885).

Source :  http://flaubert.univ-rouen.fr/biographie/adele_janvier.php

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1 juillet 2009 3 01 /07 /juillet /2009 13:09
Auteure/ Compositrice / Interprète
Québec - Canada
Née en 1990.
Des Bancs d’église de son enfance aux scènes de la petite école, elle arpente tranquillement celle des grands. «Je m’étourdis de sons et de mots, à travers ma naïveté de croire que la musique peut changer le monde. Ma mission; vous faire partager mon univers, mon irréel à moi...! »

Retrouvez l'espace d'Emilie :
http://www.myspace.com/emiliejanviermusique
Ou son site : http://www.geocities.com/emiliejanvier100/
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28 juin 2009 7 28 /06 /juin /2009 22:57
Né le 10 février 1852 - Angers (Anjou)
Décédé en 1905 - Paris , à l'âge de 53 ans
Auteur dramatique


Auteur de pièces en un acte sous le nom de Beauvallon, puis sous son nom de comédies de moeurs. "Les Respectables" 1889, "Cinq mille quatre!" 1890, "Mon nom" 1891, "Les Amants légitimes" 1893, "Les Jocrisses du divorce" 1895, "Mon enfant" 1898, "La Bonne Hôtesse" 1899, "Francine" 1900, "Le Prestige" 1901, "Les Appeleurs" 1903.

Voir sa fiche généalogique.

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27 juin 2009 6 27 /06 /juin /2009 18:03

Acteur de cinéma apparaît dans :

* Je suis avec toi - 1943 - Réalisé par Henri Decoin où il interprète le rôle d'un gendarme
* Adieu Chérie - 1946 - Réalisé par Raymond Bernard

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27 juin 2009 6 27 /06 /juin /2009 17:19

Né à Paris le 9 septembre 1827, Auguste Janvier travaille à 18 ans dans l'étude d'un notaire parisien.

Les violences de la Révolution de 1848 font fuir les parents d'Auguste Janvier. Toute la famille regagne AMIENS que M. Janvier père avait quitté 37 ans plus tôt.

Auguste Janvier n'apprécie pas le travail notarial. A 22 ans il veut devenir rentier ! Ce projet se réalise à la suite de l'héritage que son oncle laisse à son père.

Les revenus de ses placements financiers lui assurent une vie confortable et il consacre ses loisirs à l'étude de l'histoire locale. Membre de différentes sociétés savantes et littéraires, dont la Société des Antiquaires de Picardie, il publie un nombre important d'ouvrages sur Amiens et la Picardie.

Au décès de son père, en 1875, il se trouve à la tête d'une très importante fortune estimée à 12 millions de Francs modernes, soit 1,8 million d'Euros environ.

Il consacre ses revenus à l'éducation des classes défavorisées. Il estime que l'instruction est un excellent moyen pour éviter les révoltes en réduisant la misère. Dans cet esprit il finance la construction d'une salle de lecture qui agrandit la Bibliothèque Municipale d'Amiens. S'il participe à la pose de la première pierre, il meurt avant l'achèvement de la construction.

Auguste Janvier décède le 21 juillet 1900 en transmettant sa fortune et sa bibliothèque personnelle à la Ville d'Amiens, à charge pour elle de l'utiliser pour le bien public. La municipalité achève la salle de lecture de la Bibliothèque Municipale et utilise le reste du leg pour la construction de l'Ecole Primaire Supérieur rue Jules Barni à laquelle elle donne le nom d'Auguste Janvier. Les ouvrages, recherches et travaux d'Auguste Janvier sont versés à la Bibliothèque Municipale.

Eléments de biographie extraits du site : http://larcher.c.free.fr/QACH21.HTM

Auguste Janvier à donné son nom à un Collège d'Amiens : http://etablissements.ac-amiens.fr/voir.php?rne=0801533G

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26 juin 2009 5 26 /06 /juin /2009 18:25

Alex Janvier, peint depuis plus de 40 ans. Il a créé un style original, un « langage visuel » qui lui est propre, nourri des traditions culturelles et spirituelles des Dénés du nord de l’Alberta. M. Janvier est né en 1935 dans la réserve Le Goff, à Cold Lake First Nations, dans le nord de l’Alberta. À l’âge de huit ans, il a été envoyé à la Blue Quills Residential Indian School, près de St. Paul, en Alberta. Le directeur de l’école a reconnu chez lui un talent artistique inné et l’a encouragé dans cette voie. M. Janvier a reçu sa formation artistique au Southern Alberta Institute of Technology and Art de Calgary (devenu depuis le Alberta College of Art and Design), et a obtenu son diplôme avec distinction en 1960. En 1966, le ministère fédéral des Affaires indiennes et du Nord lui a commandé 80 tableaux. Il a aussi contribué à réunir un groupe d’artistes pour le Pavillon des Indiens du Canada à l’Expo 67, dont Norval Morrisseau et Bill Reid. Ces dernières années, son œuvre se caractérise par des lignes fluides et courbes, et encore plus d’abstraction. Par son langage original, il consolidé son legs comme celui de l’un des peintres les plus importants du pays. Alex Janvier vit à Cold Lake (Alberta).


Visitez son site web : http://www.alexjanvier.com/

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25 juin 2009 4 25 /06 /juin /2009 00:22

Thomas Allibone Janvier's sister and Emma Janvier's aunt, Margaret Thomson Janvier (1844-1913), was born in New Orleans. Under the pen name Margaret Vandergrift she wrote many juveniles, among which are :

The Absent-Minded Fairy, and Other Verses
(1884);
The Dead Doll, and Other Verses (1900);
Under the Dog-Star (1900);
and Umbrellas to Mend (1905).

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25 juin 2009 4 25 /06 /juin /2009 00:15

EMMA JANVIER as born Emma Pohlamus Spicer in New York around 1875  to a very prominent New York family. Her father was John Worthington Spicer. Her mother, of Mohawk Indian descent, was Nellie Francis Mansfield. The 1880 Census show the family living at 620 Lexington Avenue in New York City. John Spicer was a "white goods merchant". There were four older children then living at home, William, 21; Mary, 20; Edith, 14; and Nellie, 11 years of age. 


Her father disowned her when she became a chorus girl, saying she disgraced the family. The Spicers were a prominent merchant family in New York City and in the Navy and militia of New York in the post-Revolutionary War years.  She borrowed her stage name from an uncle, Thomas Allibone. Janvier (1849-1913), the author of several books, both fiction and non-fiction and who wrote columns occasionally for some New York newspapers. Her aunt, Margaret Thomson Janvier (1844-1913), she wrote many books for children under the pen name Margaret Vandergrift.  


Emma Pohlamus Spicer studied opera under a teacher known as Agremonto, whose identity  apparently has been lost to history. She studied at the New York Conservatory of Music. Emma Spicer had started with the intent of singing in her  Episcopal church choir, but ended up being a chorus girl in "Lost, Strayed or Stolen".  Her next show was a small part in "The Moth and the Flame", and then the next bit part was "the Telephone Girl". She also appeared in "Papa Gou-Gou" in 1899. In 1901 she made her Broadway debut with "All on Account of Eliza". Also making his Broadway debut that night was William F. Carroll, popularly known as "Irish Billy" Carroll.


The next year she went on tour "
Lovers' Lane," and followed that with a long engagement in "The Ninety and Nine." In December of 1904 Emma Janvier returned to Broadway, appearing in "Glad of It" which ran for a month at the Savoy, and then three subsequent roles in "Harriet's Honeymoon", "Vivian's Papas ", and "A Country Mouse."

 

In December of 1905 Emma Janvier appeared in a role that put her among Broadway's leading comediennes of the day, as as Madame Stitch in "The Mayor of Tokio". "The Mayor of Tokio" played all over the country to large crowds, and the overture was recorded by Vess Ossman, playing banjo for Columbia Records. There was even a popular candy-bar called "Sa-Yo" with the picture of a Japanese maid on the wrapper. She followed that up with another triumph "The Spring Chicken" which ran from October 1906 through April of 1907. This was followed by another huge success, in George M. Cohan's "50 Miles From Boston", from whence came the famous song "Harrigan". Early recording-star Billy Murray made the song a standard. Murray's 1907 1907 recording of "Harrigan" was the best-selling song in the country by September of that year.

After "50 Miles From Boston" closed she went to Chicago for a long engagement in "The Top o' The World". After returning to New York, she appeared on Broadway in Florenz Zeigfield's "Miss Innocence" opposite Anna Held. 1909 brought her a role in "The Silver Star", which wrapped up in February of 1910.

Plus d'information et une iconographie sur : http://www.dvrbs.com/swing/OldShowbiz-EmmaJanvier.htm

Productions

Dates of Production

Poppy  [Original, Musical, Comedy]
Performer: Emma Janvier [Princess Vronski Mameluke Pasha Tubbs]

Sep 3, 1923 - Jun 28, 1924

Molly Darling  [Original, Musical, Comedy]
Performer: Emma Janvier [Mrs. Redwing]

Sep 1, 1922 - Nov 25, 1922

Two Little Girls in Blue  [Original, Musical, Comedy]
Performer: Emma Janvier [Hariette Neville]

May 3, 1921 - Aug 27, 1921

Go to It  [Original, Musical]
Performer: Emma Janvier [Mrs. Piggott Luce]

Oct 24, 1916 - Nov 1916

The Amber Empress  [Original, Musical, Comedy, Opera]
Performer: Emma Janvier [Mrs. Harriet Scott]

Sep 19, 1916 - Sep 30, 1916

Some Baby!  [Original, Play]
Performer: Emma Janvier

Aug 12, 1915 - Oct 1915

The Silver Star  [Original, Musical]
Performer: Emma Janvier [Mrs. Vera Willing]

Nov 1, 1909 - Feb 1910

Miss Innocence  [Original, Musical, Extravaganza]
Starring: Emma Janvier [Miss Sniffins];
Starring: Emma Janvier [Mme. Pompignac]

Nov 30, 1908 - May 1, 1909

Fifty Miles from Boston  [Original, Play, Play with music]
Starring: Emma Janvier [Mrs. Tilford]

Feb 3, 1908 - Mar 8, 1908

The Spring Chicken  [Original, Musical]
Performer: Emma Janvier [Mrs. Girdle]

Oct 8, 1906 - Apr 20, 1907

The Mayor of Tokio  [Original, Musical, Farce, Operetta]
Performer: Emma Janvier [Madame Stitch]

Dec 4, 1905 - Jan 13, 1906

Glad of It  [Original, Play, Drama]
Performer: Emma Janvier

Dec 28, 1903 - Jan 1904

All on Account of Eliza  [Original, Play, Comedy]
Performer: Emma Janvier

Source et liens pour plus d'information sur chaque pièce : http://www.ibdb.com/person.php?id=46848

Sep 3, 1900 - Mar 1901

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24 juin 2009 3 24 /06 /juin /2009 23:37

Lieutenant Colonel Joseph Janvier Woodward (1833–1884), commonly known as J. J. Woodward, served in the U.S. Civil War as Army Assistant Surgeon and produced several publications on war-related diseases. He was also a microscopist known worldwide and an instrumental pioneer in photo-microscopy. A collection of his photo-micrographs are preserved at the Royal Microscopical Society London. Woodward performed -and wrote reports on- the autopsies of both Abraham Lincoln and John Wilkes Booth. He also attended to president Garfield after he was shot.

According to a website run by the National High Magnetic Field Laboratory: "Woodward was the first scientist to establish photomicrography as a tool for both scientific and medical investigations." According to an article in the Archives of Pathology and Laboratory Medicine: "In addition to collecting specimens for the museum's archive, he coauthored the definitive medical history of the Civil War in the 6-volume 1870 publication of the MSHWR.4 Woodward's technique using aniline dyes for staining thin sections of tissue, along with his pioneering work in photomicroscopy, helped prepare the groundwork for modern surgical pathology."

He was also a curator of certain sections of the Army Medical Museum.

 

References

  • http://arpa.allenpress.com/arpaonline/?request=get-document&doi=10.1043%2F1543-2165(2005)129%5B1313:SPITEO%5D2.0.CO%3B2
  • http://micro.magnet.fsu.edu/optics/timeline/people/woodward.html
  • http://cwfp.biz/cgi-bin/gallery/tm.pl?idx&8_Woodward~JosephJanvier
  • http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.fcgi?db=PubMed&term=Woodward+JJ
  • http://home.att.net/~rjnorton/Lincoln83.html
  • http://members.aol.com/RVSNorton1/Lincoln60.html


    Source : http://dictionnaire.sensagent.com/Joseph%20Janvier%20Woodward/en-en/
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